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Commentaires

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Joyce

Bonjour,

Je suis étudiante et j'ai toujours éprouvé une répulsion, vague mais irrépressible, pour les grandes écoles et le monde de l'entreprise... Mais sans savoir réellement pourquoi.
Je suis tombée par hasard sur votre blog, et maintenant je sais.

Merci.

DR HACHE

Houla

Ça n'est vraiment pas le but...

L'entreprise c'est aussi

1 une manière de vivre ensemble, ce qui implique des contraintes mais contribue aussi au développement personnel.
2 une institution qui fonctionne et qui est respectable parce qu'elle fait vivre des centaines de millier de gens, en l'occurence.

Simplement elle se prend parfois trop au sérieux, ce qui mène à des excès, et la seule manière de la faire évoluer, c'est de l'intérieur.
La meilleure, selon moi, c'est d'en rire, de ne pas être dupe, mais attention au piège de l'aigreur.

Quand aux grandes écoles, les cotés mafia, clonage et élitisme sont un peu pénibles et parfois risibles, mais elle fabriquent quand même de belles mécaniques intellectuelles, qui n'ont pas toutes le melon...

Merci pour la visite en tout cas.

Brunoy

Je suis centralien moi-même, je trouve votre blog hilarant et je tiens à préciser qu'un tel olibrius n'est absolument pas représentatif de notre "communauté" (si tant est qu'elle existe).

Je le trouve plutôt représentatif des gros traders, à vrai dire. Ne nous trompons pas de sujet.

Des centraliens il y en a dans toutes les professions, y compris des moyennement lucratives (R&D, enseignement).

B

J'ai beaucoup apprécié votre commentaire sur l'impact social et psychologique de l'entreprise.

Si seulement cela pouvait être généralisé. Mais la réalité est tout autre. Bien sûr que l'entreprise a une fonction de socialisation, bien sûr qu'elle participe à développement personnel et économique individuel, mais à quel coût...

Ayant choisi de travailler justement pour améliorer les choses et accroître les retombées positives du travail, autant pour l'entreprise que pour l'humain d'ailleurs, j'ai remarqué chez ceux qui souffrent le plus de cet environnement une résistance aux changements des plus virulentes, partagée sous une autre forme par les dirigeants. Dans un monde de méfiance, de crainte, de peur et d'individualisme, le changement est l'évènement le plus redouté.

Bon courage

DR HACHE

Parfaitement d'accord : d'ailleurs de nombreuses écoles de management vous apprennent qu'il faut par principe modifier les organisations de façon récurrente, pour ne pas laisser les gens s'installer dans la fameuse zone de confort.
Cela peut donner des résultats intéressant du point de vue totalitaire : on remet au fout du jour une organisation qu'on a détruite quelques années plus tôt, en utilisant les arguments inverses à chaque fois, on est pas bien loin de 1984 et de sa novlangue, sauf que le but recherché est ici vertueux même s'il apparait souvent comme complètement crétin.

El Capéo

Alors ces belles 'mécaniques intellectuelles' auraient des yeux mais ne pourraient rien voir venir ?..
Quel gachis de matière grise, sans compter les frais (non négligeables)de scolarité gaspillés en perte sèche pour la collectivité.
Le réveil s'annonce douloureux pour tous ces beaux esprits frappés de cécité volontaire, vu qu'à Centrale on n'enseigne pas (encore) la culture des pommes de terre en plein champ...

Management Dissertation

Looks a nice post which having lots of information for blog readers.

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