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Commentaires

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arigeo

merci ,
merci pour écrire "tout haut" ce qu'on ne peut exprimer sur le terrain . J'ai croisé certain de vos collègues ,ils pensent comme vous , ça se voit au fond de leur yeux et on a tellment envie de leur demander de sortir de leur langage formaté qu'on n'ose plus .

DR HACHE

ils ne peuvent pas vraiment, le systeme est ainsi fait que ca risque de leur retomber dessus, mais en effet il ne faut pas etre dupe.

Psychodocus

Votre chronique est l'histoire de ma vie en entreprise en tant que femme fragile comme décrit à la fin. Et après on s'étonne des tentatives de suicide... Moi j'ai failli y rester mais finalement je me suis taillée. Et finalement, c'est encore moi la paria ...

Career Coach

Bien vu.

C'est un message que j'essaie de faire passer auprès des femmes que j'accompagne en coaching ou en bilan de compétences quand elles remarquent, parfois avec amertume, que la qualité de leur travail n'est pas toujours reconnue à sa juste valeur.

C'est une prise de conscience qui ouvre souvent de nouvelles portes...

MH2

Oui, votre analyse est fine. Je pense qu'il est de mon devoir de faire prendre conscience à ma fille de cet état de fait ainsi que les jeunes filles que j'accompagne dans mes séminaires de recherche d'emploi et de stage ! Je pense pourtant que les mentalités pouvent changer grâce à l'éducation et à la façon dont nous, parents, nous pouvons aider nos enfants (filles et garçons) à appréhender le monde qui nous entoure sans pour autant leur retirer leur personalité. Utopiste ? Oui sûrement ... Pour ma part, je me suis mise à mon compte trop dégoûtée par ce fameux manque de reconnaissance de mon travail ! En plus, aujourd'hui, je profite de mes enfants et gère mon emploi du temps comme je le veux. Je ne me culpabilise plus, tiraillée entre le boulot et la maison(parce que ça aussi, ça peut faire partie de la panoplie).

ECE

C'est tellement vrai... Et d'ailleurs, de façon égale dans les entreprises ou organisations très féminisées ou très masculinisées.

On dit souvent que dans une entreprises "il y a ceux qui travaillent et ceux qui font carrière". J'ai envie de dire, il y a les femmes qui bossent sans trop rien demander et les hommes qui manoeuvrent en étant partisans du moindre effort.

Mais non Mais non

Je rencontre beaucoup de femmes qui sortent la tête du guidon à la faveur de restructuration ou limogeage en bonne et due forme, sans vie personnelle à 45 ou 50 ans, dépitées et écoeurées de constater que pour soigner une confiance en elles défaillante elles ont travaillé sans compter soirs et week end, pour atteindre un niveau de maitrise et de perfection que personne ne leur demandait... Le manque d'implication des femmes le soir est absolument faux à mes yeux, d'autant que les femmes de 30/35 ans, célibataires et investies patissent à l'avance du fait qu'un jour elles auront des enfants et ne travailleront plus jusqu'à 22h. Les hommes sont parfois en effet plus facilement investis dans les soirées resto avec collègues étrangers ou supérieurs pour soigner leur réseau, et c'est nettement plus productif!
Pascal vous arrivez parfaitement à être sexiste à votre corps défendant! un congé maternité c'est 3 mois, soit le temps qu'il faut souvent à un accidenté de ski pour recouvrer sa capacité à travailler! Les préjugés ont la vie dure : parité s'appelle la rubrique?

EB

J'ai envie de pleurer tellement j'ai l'impression que c'est moi...

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Est-ce vraiment un syndrome ?

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